La panthère-tigre de Regjep

Retour au printemps 2019 !

Souvenez-vous : l’année dernière, les latinistes de 5ème avaient mené un projet plastique où chacun devait représenter sous forme de mosaïque un animal de son choix, symbole d’un dieu ou d’une déesse de la mythologie romaine.

Zina avait opté pour l’aigle de Jupiter, roi des dieux, Lorenzo et Ceyda pour le dauphin et Arzek pour la colombe de Vénus, déesse de l’amour, Hella et Romane pour le paon de Junon, déesse du mariage, Nefissa pour la chouette de Minerve, déesse de la sagesse, Regjep pour la panthère de Bacchus, dieu du vin et de la fête, Alicia pour la biche de Diane, déesse de la chasse et de la nature, et Amandine pour Cerbère, monstrueux chien à trois têtes qui garde la porte des Enfers…

Zina et Nefissa ont commencé par le motif central avant de s’attaquer au cadre.

Nous avions été assistés et soutenus, dans notre activité, par M. Annarelli, un mosaïste passionné installé à proximité du collège, et dont les oeuvres sont visibles ici. M. Canin, étudiant-stagiaire de Mme Lagarde, a aussi supervisé le travail et apporté son aide aux élèves quand ceux-ci en avaient besoin.

La progression du travail de Hella, pour un résultat magnifique !

Dans le premier article du blog publié sur ce projet, disponible en cliquant ici, nous vous expliquions le but de notre travail et la manière dont nous avions procédé.

Dans ce nouvel article, qui revient sur le projet terminé en 2019, nous voulions vous montrer la progression du travail et les résultats obtenus.

Chaque élève de ce groupe y a mis beaucoup de cœur, pour un résultat parfois épatant et de toute beauté !

La mosaïque de Romane est aussi splendide : son paon à elle fait la roue !

Toutefois, les latinistes ont pu à cette occasion se rendre compte de l’immense minutie qu’il fallait avoir pour faire un travail de qualité, et du temps important que cela pouvait prendre…

Ainsi, Zina, dont l’aigle a finalement impressionné tout le monde, a mis beaucoup de temps à démarrer et n’était au début pas du tout satisfaite de son travail. En réalité, elle a compris que la beauté de la mosaïque n’est pas visible dès le départ, mais qu’il faut persévérer, et que ce n’est qu’une fois le travail terminé que l’on peut juger de sa qualité.

Ce fut donc l’occasion d’acquérir des compétences comme la programmation des tâches à accomplir dans un projet, la patience et la persévérance dans le travail !

L’œuvre d’Alicia, confectionnée avec beaucoup de minutie, est également sublime !

Certains ont été un peu déçus du rendu final de leur travail, d’autres se sont agréablement surpris eux-mêmes, d’autres encore ont eu du mal à trouver le temps de terminer leur mosaïque…

Mais en fin de compte, tous ont été très contents de cette activité… et surtout, de pouvoir repartir chez eux avec l’œuvre qu’ils avaient eux-mêmes confectionnée !